-Les Mythiques-
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Chaque mythe est unique, mais tous protègent le coeur des hommes, et ensemble ils peuvent créer des miracles
 
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 Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs

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Sailor Kirin
Sailor Varuna Deva
Chaos
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Chaos
|Maitresse de l'Univers|
Chaos


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MessageSujet: Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs   Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs EmptyDim 26 Fév - 21:58

[Chaos, Pays du Chaos - Jour 0 / midi]

Assise assez negligement sur son trone, vétu de sa longe chemise noire qui laissait entrevoir la peau blanche de ses jambes et de ses épaules. Aucune émotion ne transparaissait sur son visage, ses yeux a demi fermés, sa main soutenant sa tête, et quelques doigts placés devant sa bouche lui donnait un air paisible, comme si elle reflechissait simplement. Mais en réalité elle observait le combat qui avait lieu la bas, le combat que livraient ses serviteurs sur Yrinn ... Cette maudite planète qui lui resistait depuis si longtemps maintenant. C'était une des dernières planètes ou la paix subsistait, et ça la nouvelle maitresse de l'Univers ne le supportait pas.

Alors ce qu'elle voyait lui plaisait fortement, même si elle n'en laissait rien paraitre. Les fontaines en cristal teinté de sang, les parvis de marbre blanc jonchés de cadavre, le Chaos qui s'installait enfin sur cette planète, et il n'y aurait aucun survivant. C'était ce qu'elle voulait ! Et pour le moment ses chers serviteurs lui obéissaient bien. L'image devint flou un instant avant de laisser apparaitre le palais impérial, et même la salle du trône. Le couple royal et leurs descendants se trouvaient tous là, réunis, et surveillés de près par quelques sailors au service de Chaos. Venant du miroir, une vois s'éleva et s'adressa à la femme, alors qu'en image, une sailor aux cheveux rouge rosé et aux yeux verts s'agenouillait.

Sailor (dans le miroir) > Chaos-sama, nous avons capturé le couple impérial.

Chaos > C'est parfait Virtuality ... Tue les !

La sailor se releva et s'approcha de l'enfant, qu'elle tua en l'electrocutant, sous les cris hystérique de sa mère qui le suivit de près. Il ne resta bientôt plus que l'empereur qui cria et regarda droit dans le miroir, cette femme que lui aussi il voyait.

Empereur > Chaos ! Tu n'as pas gagné !!!

Sous les paroles de l'Empereur, Chaos souleva un sourcil, avant de lentement se redresser sur son trone et regarder de haut l'Empereur.

Chaos > Cesse de resister Empereur, tu es à genoux devant moi, que te faut il de plus pour admettre ma victoire ?

Empereur > Il reste de l'Espoir ! Il reste des gens pour nous proteger !!!

Chaos > Et qui ? Ton peuple entier est décimé, il n'y a plus personne pour protéger ta planète. Renonce !

Empereur (en emettant un leger rire) > Tu penses vraiment avoir décimé tout le peuple d'Yrinn ? Tu penses vraiment avoir décimé tous l'espoir ? Et bien tu te trompes ! Il existe encore une force capable de te vaincre et de faire renaitre l'espoir, et en ce moment même quelqu'un la recherche.

Chaos tiqua en entendant ça. Une force capable de la mettre en échec ?

Chaos > J'ai détruit la seule force capable de me concurrencer il y a bien longtemps déjà !

Empereur (avec un regard assuré) > En es tu sure ?

Devant l'assurance de l'Empereur, Chaos se mit a douter...

Chaos > Qui ! Qui as tu envoyé chercher ton "espoir" !!!

Elle se releva d'un bond, les yeux grand ouvert exprimant toute sa colère, son regard sanglant planté dans celui de l'empereur. Ce dernier dut d'ailleurs tourné la tête, ne pouvant pas soutenir ce regard.

Empereur > Je mourrai avec ce secret !

Chaos se mit a sourire et ferma les yeux. Elle avait un moyen de savoir de quoi il parlait. Mais il avait raison sur un point.

Chaos > Tu as raison, tu vas mourir ... Mais je connaitrait ce secret ... Virtuality !!

En se courbant légèrement, la sailor s'éxécuta. Des fils roulèrent le long de ses bras avant de s'approcher de l'empereur et de se planter dans sa nuque, causant une vive douleur à l'empereur qui cria sous la douleur de l'impact, mais aussi sous la douleur que causait l'intrusion de la sailor dans son cerveau. Cela dura pas plus d'une minute avant que l'Empereur ne tombe inconscient sur le sol. Virtuality retira ses fils et se retourna vers Chaos, en s'agenouillant.

Virtuality > Il y a un survivant. Le médecin de la famille. Nae. L'empereur l'a envoyé à la recherche de certaines sailors, mais je n'ai pas réussi à en savoir plus, son esprit m'a en partie rejeté.

L'image de Nae apparut sur l'écran. Chaos tourna le dos un instant au miroir en essayant de réfléchir. Quelle pouvait être cette force capable de la combattre ... Elle ne voyait pas ... Elle avait détruit le plus puissant des cristaux, le cristal d'Argent ... Alors qu'est ce que ca pouvait être ? Ne trouvant pas de réponse, elle s'enerva et se retourna vivement.

Chaos > Incapable !! Ramène moi ce vieu fou ici ! Je veux qu'il assiste à la fin de cet univers !

Virtuality > Bien Chaos-sama.

Le miroir disparut ensuite dans un claquement de doigt de la grande femme aux cheveux blanc. Elle se rassied dans son trone, une main tenant sa tête et les yeux clos. Cette fois ci elle reflechissait vraiment.

Chaos > Silence !!

Une jeune sailor aux cheveux argentés et aux yeux verts apparut, sans bruit elle s'agenouilla aux pieds de sa maitresse.

Chaos > Silence ! Je suppose que tu as tout entendu.

La sailor se contenta de hocher la tête.

Chaos > Je veux que tu partes à la recherche de ce Nae ! Immédiatement ! Et une fois que tu l'as trouvé, amène le ici !

La sailor hocha la tête et disparut. Chaos resta assise et referma les yeux, pensive ... Se pourrait il que de nouvelles forces s'opposent à elle ?
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Sailor Varuna Deva
~Mythique du culte Indoue~
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Planète d'Origine : Virakti, pays des fleuves.
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MessageSujet: Re: Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs   Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs EmptyLun 27 Fév - 2:26

[Parvana, Virakti – Jour 0, 8h00]

Dans le petit village de Parvana, sur les bords du grand fleuve de Virakti logeait depuis bien longtemps la famille Devi, dans un baraquement rafistolé de tôles et de bois aménagé, où de grandes étoffes colorées séchaient au soleil sur des cordes, à longueur de journée. C’était un bien modeste logement, pour une famille nombreuse dont la mère, considérée comme veuve depuis l’incarcération de son mari, élevait seule ses 8 enfants. Cependant, la famille Devi s’en était toujours très bien sortie dans la vie pénible et difficile du grand pays des fleuves. Enfin, ‘toujours’ n’était pas vraiment le mot d’ordre, en ce jour, à en croire les cris stridents de shreemati [*madame] Devi alors que la porte de la maison familiale s’était ouverte brusquement sur sa fille aînée …

Mère Devi : DEVI JAYANTI SI TU FRANCHIS LE SEUIL DE CETTE PORTE, CROIS-MOI, SUR SHIVA, QUE TU NE …

Mais c’était sans compter sur l’obéissance de Devi Jayanti, jeune Viraktiene de 16 ans, qui avait détalée comme un lapin de la petite colline sur laquelle se trouvait la maison familiale, en transportant une petite flûte sous étui, poursuivit par sa génitrice.

Jayanti : LAISSE-MOI TRANQUILLE, MA' [*maman] ! JE VAIS TRAVAILLER !!!
Mère Devi : TRAVAILLER ? TRAVAILLER !! TU VAS PASSER TA JOURNEE A JOUER DE LA FLUTE OUI !! TU VAS VOIR, SI JE T’ATTRAPE ! PETITE ARROGANTE ! hurla la veuve, d’une voix stridente typique des femmes de Virakti, tandis qu’elle levait un poing rageur vers le ciel.
Jayanti : Gna gna… ! se moqua la jeune fille, en s’éloignant.

Jayanti était une jeune fille gracile, légère et rapide. Elle n’avait aucun mal à distancer sa mère, mais prenait plaisir à la faire courir dans les collines de Virakti, bien souvent par pure vengeance suite aux nombreuses punitions ou réflexions dont elle faisait toujours –injustement selon elle-, l’objet. Lorsqu’elle eut distancé convenablement sa mère, alors que la capitale de Virakti s’annonçait devant elle, elle se mit à ralentir le pas, passant une main rapide dans ses cheveux inégalement coupés et repliant son sari contre ceux-ci, qu’elle attacha à l’aide d’une belle broche en forme de serpent, sur le haut de sa tête.

Jayanti n’avait jamais était une jeune fille ordinaire : Elle passait son temps à sillonner la ville, au lieu d’aller à l’école des filles ou aider sa mère à la maison. Peu appréciée des « plus âgés » pour son côté rebelle et sa désobéissance que sa mère prenait un malin plaisir à raconter aux peuple lorsqu’elle faisait son marché, elle avait une réputation des plus frivoles, au sein de la communauté adulte de la ville.

Chacun de ses pas émettait toujours un léger tintement métallique, à cause de l’impressionnante parure de bijoux, de grelots et autres ornements dorés, que Jayanti portait toujours avec son sari. Deux garçons l’interpellèrent rapidement au détour d’une ruelle, l’entraînant à l’écart de la foule massive et compacte de Virakti.

Jyotiprakash : On a une mauvaise nouvelle à t’annoncer,
Jimutbahan : Petite sœur Ja’ !
Jayanti : Jyoti ? Jimu, arrête de m’appeler Ja’ ! répondit la jeune fille, en poussant un soupir d’exaspération.
Jyoti et Jimu : Ja’, c’est mignon Ja’ !
Jayanti : A-RRE-TEZ >.< ;;

Minces et de taille moyenne, les cheveux noirs hirsutes et la peau brune, Jyotiprakash et Jimutbahan étaient les deux aînés de la famille Devi, jumeaux, et grands frères de la jeune fille, ils passaient eux aussi leur temps en ville, à la recherche d’un moyen de gagner la moindre roupie à rapporter au budget de la famille. Jayanti les trouvait tout aussi exaspérant l’un que l’autre, et ne supportait pas les moqueries et les élans de surprotection dont elle faisait à longueur de journée l’objet.

Jyoti : Ja’, ton python est mort.
Jayanti : Quoi ?! …Où est-ce qu’il est ?
Jyoti : Il est…
Jimu : dans le fleuve.

Jayanti du se retenir pour ne pas bondir sur ses deux frères et leur tordre le cou. Ses yeux d’un bleu luminescent semblaient lancer des éclairs, tandis qu’elle regardait tour à tour, d’en bas, les visages émaciés de ses deux aînés.

Jayanti : Comment !
Jyoti : Bah…il ressemblait plus vraiment à un serpent tu sais, quand on l’a jeté au fleuve, Ja’, et arrête avec tes yeux de raakshasa (*démon) !
Jimu : Après la douzaine d’éléphants qui lui ont passé dessus, on a pensé qu’il valait mieux pas que tu le vois, ajouta le second frère tout en maintenant sa sœur à distance en posant sa main contre son front, afin d’éviter qu’elle ne le réduise en charpie de ses mains.
Jyoti : C’était pour ton bien, on ne voulait pas que tu pleures, petite sœur !
Jayanti : Pour mon bien !…Pour MON bien !??? Et puis, comment je vais faire pour gagner de l’argent, sans mon serpent à charmer, hein ?!! hurla t’elle, en faisant de gros yeux.
Jimu : Ca va, je suis sûre que tu n’auras aucun mal à t’en trouver un autre et à l’apprivoiser ! Tu n’as qu’à retourner aider Ma’ aujourd’hui.
Jayanti : Ma’ va me vendre à Kali oui !
Jyoti : Il faut toujours que t’abuses…
Jayanti : LA FERME !
Jimu : Jayanti Devi, ne parle pas sur ce ton à tes aînés, tu risquerais de le regretter !!
Jayanti : C’est ça ! Alavidha (*au revoir) ! répliqua agressivement la jeune fille, tout en se détournant dans la ruelle.

Elle fit quelques pas, puis une fois éloignée de ses frères, elle se retourna lentement tandis que les deux aînés de la famille la fixaient d’un regard noir. Elle haussa les épaules, puis s’éloigna en courant dans les rues bondées de Virakti.

Virakti-city, était la capitale du pays des fleuves. C’était une immense ville sainte, qui bordait le fleuve sur une vingtaine de kilomètres. Les rues se ressemblaient toutes : des centaines et des centaines d’échoppes entassées les unes sur les autres, des marchants d’épices, des vaches, des mendiants, des brahmanes, des habitants massés dans les étroites ruelles, allant et venant ça et là, à la recherche d’une bonne affaire, ou d’un quelconque moyen de trouver un avenir meilleur à offrir à leurs familles. Et pourtant, malgré leur pauvreté, les gens de Virakti, étaient accueillants et n’hésitaient pas à aller adresser la parole aux étrangers. Le soleil y était toujours présent, et la chaleur fortement insupportable, même lors de la saison des moussons. Cette saison était d’ailleurs la plus craint de l’année, puisque le fleuve tuait à chaque cru des milliers de Viraktiens, sans que cette population pauvre et démunie de l’aide des riches Maharajas qui gouvernaient le pays, ne puisse y changer quoi que ce soit. Les Virkatiens avaient fini par s’habituer à cette vie sordide que les Dieux leur avaient offerts, et passaient leur temps à travailler, mendier ou prier leurs innombrables divinités.

Jayanti aimait cette odeur d’épice propre à son pays, et se promenait souvent dans les rues, sans but précis, juste pour être là, comme bon nombre de Viraktiens. Son visage ravissant et son allure de jeune fille en fleur attiraient bien souvent les regards des jeunes garçons, lorsqu’elle s’avançait dans les rues, l’air rêveur, en chantonnant quelques refrains de prières à son Dieu vénéré : Varuna, de sa voix mélodieuse et typique de ses origines. Souvent perdue dans ses pensées, il lui arrivait de s’exprimer à haute voix à des gens qu’elle s’imaginait, ce qui avait tendance à la faire passer pour une jeune fille aliénée…

Ce jour là, Jayanti ne rentra pas chez la mère Devi, comme le lui avait conseillé son frère, elle fit un détour par le fleuve, qu’elle longea, avant de ne s’assoir au bord de l’eau, sur les ghats (grands escaliers en pierre), regardant d’un air distrait les pèlerins se purifier dans les eaux sacrées.

Jayanti : Seigneur Varuna, ô toi qui règne sur les fleuves et les océans, aide-moi à devenir plus forte…montre-moi le chemin…Qui suis-je en ce monde ?

« Que suis-je… »

Shankara Sadhil : Ma future épouse, Shankara Jayanti !
Jayanti : Sadhil ! s’écria la jeune fille, tout en se relevant d’un bond.

Un jeune homme portant une luxueuse tunique indienne, blanche et or, et un turban retenant ses courts cheveux noirs et bouclés, se tenait derrière la jeune fille, une boite en carton à la main. Un sourire charmeur sur les lèvres, il s’approcha…

Sadhil : Alors, tu es heureuse ?
Jayanti : Plutôt épouser un babouin !
Sadhil : Tiens, ce n’est plus un serpent aujourd’hui ? Tu aimes ça, hein, les serpents.
Jayanti : Tu m’as rapporté quelque chose ? questionna la jeune fille, habituée, tout en fixant la boite en carton d’un regard colérique.
Sadhil : Des légumes cuisinés au curry, des samossas, des chapatis, du Poulet vindaloo, expliqua t’il fièrement, tout en ouvrant la boite en carton, et pour finir…de la papaye confite !

Jayanti allait se jeter sur les chapatis lorsque la boite se referma brusquement sous son nez, tandis que son détenteur la tenait hors de portée.

Sadhil : Teuh teuh teuh, non ma belle, tu n’as pas dis le mot magique !
Jayanti : Donne !
Sadhil : Répète après moi, et après je te donne tout le colis, et même un magnifique œil de rubis pour mettre autour de ton cou : « Oui, Sadhil, je veux t’épouser ».
Jayanti : Tu es vraiment lourd ! Je m’en fiche de tes fichus chapatis, de ton curry, de ton poulet et de tes yeux de rubis, je-n’en-ai-rien-à-FAIRE !
Sadhil : Jayanti Devi, tu es sûrement en train de faire la plus grosse erreur de ta vie, en refusant de m’épouser. Je t’offrirais la richesse et la prospérité !
Jayanti : Eh bien, je n’en veux pas, tu peux te les garder !
Sadhil : La plus belle fille de la ville, est aussi la plus sauvage et inconsciente, tu portes bien les rumeurs qui courent à ton sujet, Jayanti !
Jayanti : Tu vas te taire, oui ?!
Sadhil : Je verserais une dot à ta mère !
Jayanti : Je m’en fiche bien ! Adieu ! répondit-elle sèchement, tout en grimpant les ghats rapidement, s’éloignant du fleuve.
Sadhil : Tu finiras bien par accepter quand tu n’auras plus une roupie pour t’acheter un chapatis, et que des chiffons à te mettre, petite têtue !
Jayanti : JE NE SUIS PAS PETITE !! Je serai vêtue d'un pagne et devenue mendiante, que je ne t'épouserai même pas ! cria t’elle du haut des ghats, tout en se détournant hautainement.

S’éloignant d’un pas hâtif dans les rues toujours aussi peuplées, les sourcils froncés, elle tenta de faire taire son estomac pauvrement nourri et réveillé par la vu de l’appétissant colis de Sadhil…
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Sailor Kirin
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MessageSujet: Re: Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs   Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs EmptyLun 27 Fév - 19:13

[Pavoris – Jour 0, 7h00]

Pavoris, monde ou le soleil ne brille jamais, ou la pluie ne tombe jamais, le ciel est toujours recouvert d’épais nuage noirs…Sur ces terres désertes, les gens vivent dans la peur et seules les plus forts survivent…Dans des maisons ressemblant à des bidonvilles, les gens tentaient de survivre du mieux qu’ils pouvaient et pour se faire une place, seul le combat était la seule solution…

Dans l’une de ses maisons, éloigner des autres, se tenait devant une grande coupe ou le feu dansait une jeune femme aux long cheveux noirs. Ses yeux étaient fermé, ses mains joint, elle était assise sans bouger comme si elle dormait…Mais elle méditait…Toute la nuit elle avait méditer…Ses yeux de Jade s’ouvrirent doucement, fixant les flammes dansantes. Elle se leva, se dirigeant vers un parchemins qui était accroché au mur, elle prit une plume et marqua une barre à la suite de tant d’autres qui parcouraient le papier…Tant de temps, tant d’années…Elle était resté pareille…La même Yù Xinzàng…Et pourtant, ce qu’elle fut autrefois, elle avait oubliée et à présent, elle vivait dans ce monde. Elle avait réussit à imposer des règles afin que le Chaos ne règne pas. Les plus forts menait un clan et pour devenir chef, il fallait le prouver au combat…

Zhao : Dashi !

La porte s’ouvrir brusquement sur un homme d’une trentaine d’années, ses cheveux noirs étaient attaché par une lanière de cuir et ses yeux bleus rencontra le regard vers de Yù…Ce qui le fit un peu reculer…

: Il me semble t’avoir dit de ne pas me déranger…Bien que pour une fois, je n’étais pas en méditation
Zhao : veuillez me pardonner…Mais le Clan de Bai se trouve en ville…et il souhaite vous défiez

Yù ferma les yeux…Encore, pensa-t-elle…De nouveau on la défiait…Il est vrai qu’aux yeux des autres, elle était devenu une sorte d’immortel imbattable et qu’elle avait réussit à imposer des principes…mais a chaque fois, quelqu’un venait la défier…Yù se dirigeait vers l’un des murs ou diverses armes y étaient accrochés. Elle se saisit d’une lame qu’elle mit à sa ceinture et d’une lance…De nouveau, le sang allait couler…de toute façon, cette terre n’avait connu que le sang et rien d’autres…Elle se retourna vers Zhao :

Yù : Je te suis.

Zhao passa devant, guidant Yù jusque vers la ville. A son passage, les gens s’écartaient ou s’inclinait devant elle…Elle avait le titre du plus fort au sein de tout Pavoris et presque tous la respectait ou la craignait, mais certains espérait la tuer pour prendre sa place…Elle arriva vers le centre de la ville qui était une sorte de place déserte, mais qui surtout était "l’arène de combat", le seul lieu qui autorisait les combats. De l’autre coté, il y avait différent personnes, hommes et femmes portant des armes, certains abordaient des trophées sur eux comme des os ou des crânes de leur précédant adversaires. L’un d’eux s’avança lorsque Yù arriva, un homme assez grand et baraqué. La tête rasé et parcourue par divers tatouage, ses yeux gris fixaient Yù, un sourire apparut sur ses lèvres.

Bai : Enfin vous voila…La fameuse "Cœur de Jade", ou Dashi comme les faibles vous appellent.
: Je peux savoir se que ton clan à me reprocher…de nouveau, dit Yù en planta sa lance à ses cotés.
Bai : Auriez vous oublié ?...Vous avez autorisé les Chefs des Clan à vous défiez, l’un d’eux au moins une fois par an.
:…ah oui c’est vrai, fit Yù comme si elle était distraite.
Bai : Et plus…Etant la plus forte, vous devez bien prouvez que vous l’êtes toujours. Bien que j’ai entendu dire que vous vous terrez chez vous, à écrire sur des morceaux de papiers ou lire voir même à dormir
: Méditer…Apparemment tu ne dois pas lire souvent…
Bai : Pas besoin ! Et puis, une fois que je t’aurais tuer, je supprimerais toutes ses conneries que t’a oser imposer
:….Ah ! C’est donc pour ça que tu es la. Donc tu contredis les principes que j’ai juste émis ?
Bai : Emis ?....Tu les a imposé !
: Pas du tout…c’est juste que…les faibles comme tu les appelles ont besoin d’un guide…de points de repère…Et pas qu’eux, les combattants aussi.
Bai : on n’a pas besoin de ces sornettes ! Seul la force compte !
Yù :…Bon, je voulais te dissuader mais apparemment tu es déterminé…très bien, tu connaît les règles ?
Bai : Tes règles ! Pufff, je suis bien obligé …pour l’instant. Si je crève, mon bras droit prendra ma place. Mais ça risque pas d’arriver, fit–il en prenant deux grosses masses dans chaque main.
: …entendu.

Yù prit sa lance, puis elle adopta une position de combat face à Bai, attendant que celui-ci commence…Et elle n’attendait pas longtemps, Bai fonça sur elle, levant ses deux masses et les abattant sur elle. Le sol forma un cratère à l’endroit où se trouvait Yù, celle-ci avait facilement esquivé, sautant dans les airs et se retrouvant dans le dos de Bai. Le Chef se retourna rapidement, tenant de toucher la jeune femme, mais celle-ci esquivait facilement…Les autres observait le combat, mais il commençait à ressentir de la peur en eux, car ceux qui fixait le visage de Yù vit un visage froid, sans émotions…

Bai commençait à se fatiguer, Yù en profita pour lui faire plusieurs entailles en peu partout avec sa lance, puis prenant appuis dessus, elle s’envola dans les airs et enroula ses jambes autour du cou de Bai qui fut surprit. Puis elle partit en arrière, entraînant le corps de Bai avec elle. Un bruit violent de craquement se fit entendre lorsque Bai tomba au sol : sa colonne vertébrale venait de se faire fracturer. Yù s’était relevé et s’approcha de Bai qui vivait toujours, son visage était toujours froid…

Bai : Pi….Pitié
:…Tu me supplie ?...As tu oublié la règle fondamentale…Que vous-même guerriers avait avant ma venue ?...Un guerrier à terre et qui supplie…

Yù avait dégainé son sabre et la lame transperça la gorge de Bai…

:…Est un guerrier mort…

Yù retira la lame recouverte de sang du corps de Bai, ses yeux reflétaient aucune émotions…c’était ainsi toujours lorsqu’elle tuait. Son regard de jade se tourna vers le Clan, elle pointa la lame vers le bras droit de Bai :

: Tu es désormais Chef de ce clan…Enfin, jusqu'à ce que quelqu’un te défie pour prendre ta place

Elle rengaina, puis elle tourna le dos au clan qui s’était agenouillé devant elle. Le verdict était rendu : Yù demeurait la plus forte…
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MessageSujet: Re: Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs   Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs EmptyVen 10 Mar - 22:33

[Bryumen, village de la tribu Fana – Jour 0, 9H00]

Une nouvelle journée venait de se lever sur Bryumen le pays des pluies. Comme quasiment tout les jours, cette journée était accompagnée par la pluie qui arrosait les très nombreuses forêts et marais du pays. Les habitants étaient habitués depuis le temps et n’espérait plus voir la lumière du soleil depuis très longtemps. Ils vivaient avec la pluie de leur naissance à leur mort et s’accommodait très bien de cette situation, au point de ne plus sentir la pluie pour certains. Certains villages étaient protégés par la pluie par l’épais feuillage des arbres. C’était le cas de celui d’Olfine.

Le village de la tribu Fana vivait dans une des plus grande forêt du pays et surtout une des plus magnifique. Les différentes habitations étaient construites en parfaite harmonie avec les arbres. Certaines étaient accrochées au tronc, d’autres reposaient sur d’énormes branches et quelques unes étaient creusées dans les arbres eux-mêmes. Toutes les maisons étaient construites de pierre et de bois. C’était l’un des plus beaux village du pays et donc l’un des plus convoités. Au milieu de tout ça tronait une grande bâtisse surpassant en taille et en beauté toutes celles qui l’entouraient. Une grande arche en pierre et de nombreuses draperies ornaient l’entrée. L’intérieur était rempli de grand tapis de soie et autres décorations donnant du prestige aux lieux. Au milieu de la plus grande salle on pouvait apercevoir un grand autel de pierre où reposait divers fruit. Les nombreuses taches rouges laissaient présager une autre utilité à l’objet. Derrière ce dernier se trouvaient un grand trône de pierre ornés de bijoux précieux et de divers tissus de soie.

Une jeune femme aux grands cheveux rouges et portant une grande chemise de soie blanche quasiment transparente arriva en courant dans la pièce, elle se précipita vers une grande porte en pierre se trouvant sur la droite du trône et l’ouvrit rapidement. Elle arriva dans la chambre de l’habitante des lieux : Olfine. Cette dernière dormait dans un énorme lit et était à moitié recouverte par les draps. On pouvait apercevoir son dos nu et ses bras, sa tête étant enfouie sous un oreiller. Un groupe de 4 jeunes filles ressemblant presque comme 2 goûtes d’eaux à la jeune femme qui venait de rentrer étaient également allongées sur le lit. La jeune femme qui venait d’arriver repris son souffle avant de s’agenouiller devant le lit.

Servante : Oh Déesse, excusez moi de faire irruption ainsi dans votre chambre mais on vous demande en salle de guerre. Nos éclaireurs nous ont signalé que la tribu Ray se dirige vers notre village. Ils sont armés …
Olfine : Encore ? Mais quand comprendront t’ils qu’ils doivent rester à leur place … Bon … J’arrive, le temps de m’habiller, va prévenir les autres…

Olfine sorti la tête de sous son oreiller et poussa un grand soupir de lassitude. Pour une fois qu’elle ne faisait pas un cauchemar il a fallu qu’une tribu vienne l’attaquer. Ca faisait quelques semaines que son village n’avait pas subit d’attaque. Elle pensait que les autres chefs avaient enfin compris que toutes attaques étaient inutiles mais apparament non … Ils s’obstinaient à vouloir son territoire et ceux malgré les nombreuses défaites et les divers accords effectuer. Elle allait encore devoir leur donner une leçon. Elle se leva et regarda les 4 jeunes femmes allongées sur le lit. Elle sourit légèrement ce spectacle. Ca faisait maintenant quelques années qu’elle avait décidé de former sa garde personnelle et c’était une de ses meilleures idées. Ces jeunes filles l’aidaient à passer le temps et palliait le manque dans son cœur créer par la disparition de ses sœurs. Elle claqua des mains et s’adressa aux jeunes femmes.

Olfine : On m’attend ! Ma tenue, vite !

Les 4 femmes aux cheveux rouges se levèrent rapidement du lit et se séparèrent. Deux d’entre elles prirent une grande bassine d’eau, un savon et une éponge et commencèrent à nettoyer le corps d’Olfine. Une fois le nettoyage fini elles la séchèrent avant de s’écarter. Les 2 autres arrivèrent et commencèrent à aider la jeune femme aux cheveux blancs à enfiler sa tenue, l’une aidant à enfiler le côté tissu tandis que l’autre s’occupait du côté armure. En quelques minutes elle était habillée. Elle attrapa son épée qui était posé à côté du lit et claqua des doigts avant de sortir de la pièce. Ses servantes la suivirent sans un mot.

Olfine quitta sa demeure et se dirigea vers une autre maison. Chaque habitant qu’elle croisait s’agenouillait à son passage en signe de respect. La jeune femme affichait un sourire amusé à chaque fois. Ca faisant des années qu’elle était considérée comme une déesse mais cette attitude et ce respect qu’elle inspirait l’amusait toujours. Dans son ancienne vie elle était regardée comme une bête curieuse et dévisager à longueur de temps. Maintenant elle était respecter et crainte par tout un peuple.

Elle finit par arriver dans une nouvelle maison assez sombre. Les murs étaient recouverts de cartes et une grande table trônait au milieu de la pièce. Quatre hommes en armure l’attendaient. En la voyant arriver ils s’agenouillèrent en signe de respect.

Olfine : Relevez vous. Bien … Quel est la situation ?
Général 1 : Et bien déesse, les éclaireurs nous ont signalé que la tribu Ray se dirigeait vers l’entrée sud de la ville. Ils sont une cinquantaine d’après nos estimations.
Olfine : Et qui les dirige ?
Général 2 : Leur chef actuel, Clad. Visiblement, d’après nos espions, Il a remplacé l’ancien chef avec qui nous avions passé un accord et à décider de nous attaquer … Il a rassemblé les quelques soldats alliés à sa cause et s’est mis en marche vers nos frontières.
Olfine : Super … Encore un jeunot qui se prend pour le nombril du monde … Bon, s’ils sont si peu je m’en occupe toute seule, je vais leur faire payer le fait de m’avoir déranger.
Général 3 : Vous toute seule Déesse ?

Olfine jeta un regard noir au troisième général, elle n’aimait pas qu’on doute d’elle et qu’on la contredise. Elle fonça sur lui, l’attrapa à la gorge avant de le plaquer contre le mur.

Olfine : J’ai pas du bien entendre… Vous m’avez contredit général ?? Vous doutez de moi ??
Général 3 : Excusez moi … Déesse …
Olfine : Je préfère ça. Et n’oublie pas qui commande ici !! Je vais régler cette affaire. Préparez l’autel, je pense que je vais en avoir besoin.

Elle relâcha le général et se dirigea vers la sortie du village tandis que ses servantes retournaient à la maison. Après quelques minutes de courses intensives, elle arriva à la frontière de son territoire. Le groupe ennemi arriva peu de temps après. Olfine était amusée en regardant les quelques visages apeurés qui s’affichaient dans la troupe ennemie. Elle s’avança et dégaina son épée avec un grand sourire carnassier. Le chef adverse s’avança à son tour et la défia du regard.

Clad : Olfine !! Femelle !! Où est ton armée ?
Olfine : Parce que tu crois que j’ai besoin d’une armée pour battre une bande de cul terreux dans votre genre. Tu te surestimes mon cher. Regarde tes hommes, la moitié à déjà envie de s’enfuir et de retourner dans les jupettes de leur mère.
Clad : Tu mens !! Nous allons te tuer et ainsi prendre le contrôle de ton territoire !!
Olfine : Mais oui … Bon si au lieu de parler on passait aux choses sérieuses ?

A peine avait elle que les hostilités commencèrent. Clad s’enfonça entre ses soldats pour se protéger tandis qu’un petit groupe se jeta sur Olfine. La guerrière mit son épée dans sa main droite et activa la lame cachée dans l’armure qui protégeait son bras. Elle commença à riposter blessant aux bras et au ventre la plus part de ses adversaires tout en contrant les coups avec son armure. Le premier groupe se retrouva à terre en peu de temps. La jeune femme profita de la confusion pour foncer dans les troupes restantes. Elle frappa les quelques hommes qui protégeaient Clad et lui coupa la main qui tenait son arme. Un grand cri de douleur se répandit sur le champ de bataille. Elle l’attrapa ensuite par le cou et le lança de l’autre côté du terrain. Elle se recula rapidement et s’adressa aux soldats encore indemnes.

Olfine : Bien … Vous avez 2 solutions … Soit vous vous obstinez à vouloir ma peau en obéissant à la loque qui se trouve derrière moi sachant pertinemment que vous vous retrouverez les tripes à l’air, soit vous abandonnez en me laissant votre prétendu chef, vous ramassez vos blessés et vous rentrez tranquillement chez vous. Bien sur, vous devrez être puni pour cette tentative de guerre donc je veux que votre prochain chef, qui j’espère aura plus de jugeote que celui là, m’amène 1/3 de votre trésor sinon je viendrai le chercher moi même avec mon armée et je ne ferai pas de prisonnier.

Elle finit sa phrase en essuyant le sang de sa lame et en affichant un sourire carnassier. Les soldats se regardèrent entre eux en tremblant et finirent par s’enfuir en courant après avoir ramasser les quelques survivants. Olfine sourie et se dirigea vers Clad qu’elle assomma d’un coup de pied dans la tête. Elle fit ensuite un bandage pour éviter qu’il perde trop de sang et repartit en direction du village tout en le traînant derrière elle.

Une fois arriver au village elle se dirigea vers sa demeure sous les cris triomphant de son peuple. Les généraux l’accueillirent et la félicitèrent pour cette nouvelle victoire. Elle jeta Clad sur l’autel et se plaça en face de lui. Elle arracha la tunique et l’armure de l’homme et se tourna vers l’une de ses servantes qui lui apporta un poignard. Elle afficha un sourire avant de planter le poignard en haut du torse avant de le descendre pour l’ouvrir en 2. Elle arracha le cœur et le posa sur l’autel. Elle trancha ensuite la tête avec son épée. Elle se tourna ensuite vers un de ses généraux tout en essuyant son poignard.

Olfine : Bien. Va mener la tête et le cœur de cet imbécile à la tribu Ray pour qu’ils comprennent enfin qu’il ne faut pas me défier. Rappelle leur au passage qu’ils me doivent un tiers de leur trésor.
Général 4 : Il en sera fait selon vos désirs déesse. Que devons nous faire du corps ?
Olfine : Accrocher le à la lisière de la frontière sud. Ça montrera aux prochains petits malins qui voudront nous envahir ce qui les attends. Ah ! Et pendant que vous serez là bas, ramenez une ou 2 jeunes femmes, nous avons bientôt un sacrifice donc autant en profiter pour récolter une offrande.
Général 4 : Vos ordres seront respecter à la lettre déesse.

Les 4 généraux se retirèrent emmenant le cœur, la tête et le corps laissant Olfine seule avec ses servantes. Elle s’approcha des 5 jeunes femmes et les embrassa l’une après l’autre.

Olfine : Bien mes chéries, maintenant que cette affaire est réglée je suis toute à vous. Allons prendre un bain.
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MessageSujet: Re: Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs   Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs EmptyMer 29 Mar - 20:12

[Chéoris, une petite plaine glacé derrière des iceberg - Jour 0 - matinée]

Un son connut ...

Avec grace et légèreté, une jeune fille aux longs cheveux blonds, laisse ses doigts courir habilement sur les cordes fines d'une harpe. Ses yeux clos donne a son visage un air apaisé, semblable à la musique qu'elle joue. Les autres élèves du cours écoutent patiement en silence, jusqu'a ce que les mains s'arrête et que la jeune fille rouvre ses yeux gris. Ce sont les applaudissement qui succèdent à la musique et tout le monde se rapproche de la jeune fille pour la féliciter.

Des visages connus ...

Avec joie et en riant, la jeune fille blonde passe son bras autour des épaules d'une jeune femme aux cheveux blanc et aux mèches noires, et aux yeux de deux couleurs différentes, tandis qu'elle prends le bras d'une jeune fille aux cheveux rouges. Ensemble, elles rejoignent d'autre jeunes femmes vers lesquelles la jeune blonde aux yeux gris se précipite toujours avec le même sourire franc. Elle se jette ainsi au cou d'une autre jeune femme qu'elle embrasse.

Des moments trop connus ...

Avec difficulté, la jeune fille aux cheveux blonds tentent de resister a ses amies qui veulent la tirer en arrière, mais finalement, elle se retrouve derrière elles. Puis tour à tour, les corps de ses amies tombent à ses pieds, couverts de sang, et inanimé. Puis cette personne qu'elle aimait tant se dresse devant elle, le regard froid et le visage inexpressif. Alors que la jeune blonde tend les mains vers elle, le corps de cette dernière semble devenir inconsistant, et s'effriter. De la neige tombe, tandis que le corps de cette femme qu'elle aimait disparait peu à peu, cette neige qui écorche la peau blanche de la jeune fille qui est à terre et qui pleure sans bruit, les yeux écarquillés. Lentement, les larmes claires se teintent de rouge, et elle cri ...

Un rêve récurrent ...

Rina ouvrit les yeux, et expira l'air qu'il y a dans ses poumons, qui devint une bulle qui va mourir à la surface de l'eau. Lentement, sans faire de vague, la jeune fille sortit la tête de l'eau froide dans laquelle elle était plongée, et se redressa. Elle connaissait par coeur ce rêve, et elle le détestait. Ses yeux gris étaient a demi ouverts, et son visage était inexpressif. Pourtant, soudainement, sans qu'aucun des muscles de son visage ne se contracte, des larmes se mirent à couler sur ses joues, et la jeune fille pencha la tête en avant, laissant l'eau de ses yeux rejoindre celle de l'espèce de baignoire dans laquelle elle se trouvait. C'était toujours comme ça que ca se passait. Elle faisait souvent ce rêve, et quand elle se reveillait, sans crier, sans sursauter, elle ne faisait que pleurer.

Jeune fille : Vous avez encore fait un cauchemar ?

Rina tourna lentement la tête vers la jeune fille qui venait de parler et qui se trouvait a coté d'elle. A peine agé de 15 ans, des cheveux courts noir de jais et des yeux améthyste, cette jeune fille s'appelait Himy, et c'était elle et ses aïeux qui s'occupaient de Rina depuis que celle ci était arrivé sur Chéoris ... Enfin plutôt depuis qu'elle avait décidé de s'isoler du monde et de passer ses journées plongé dans cette baignoire d'eau glacé, comme si elle entretenait l'espoir de mourir de froid, ou bien d'être congelé pour toujours ... juste pour oublier ce rêve qui un jour a été une réalité. Malheureusement, ni l'une ni l'autre de ces possibilités ne semblait envisageable. Voilà maintenant des années que Rina vivait ainsi, entretenant la très faible flamme de vie qui brulait encore dans son être grace à Himy et ses ancêtres qui lui apportaient des vivres et qui veillaient sur elle, sur cette femme brisée par la vie, qui semblait à demi-morte.

Himy fronça légèrement les sourcils et sortit un petit mouchoir. Elle s'approcha de Rina qui ne bougea pas, et n'ouvrit même pas la bouche. Ses yeux gris étaient fixés dans le vide, puisqu'elle était aveugle. Himy épongea avec son mouchoir, les quelques gouttes de sang qui s'échappaient du nez de Rina. Cette dernière laissa faire.

Himy : Vous saignez encore a cause du froid Niheim ... Vous devriez sortir un peu et vous rechauffez avant que ca ne devienne dangereux pour vous.

L'aveugle aurait adoré que cela soit vrai et que le froid devienne dangereux pour elle. Mais au fond d'elle, elle savait que c'était impossible. Il était impossible qu'elle, née dans les glaces de sa chère terre d'Islande meurent par la glace. Elle ne s'attarda pas sur cette pensée qui était un des souvenirs de ce passé qui la hantait, qui la tuait et qu'elle haissait de toute son âme. Toujours le visage inexpressif, sans un mot, et en ne faisant presque pas de bruit, elle se leva de son bain glacé, tendant les mains vers l'avant cherchant par ce geste un point de repère pour s'extirper de là.

Pourtant à peine eut elle tendue les mains qu'elle les ramena vivement vers elle, et se laissa tomber de nouveau dans la baignoire, faisant pour le coup des vagues et du bruit. C'est ce qui fit se retourner Himy qui déposait pendant ce temps les quelques vivres et couvertures qu'elle avait apporté. La jeune enfant gardait toujours l'espoir de voir Niheim, comme elle l'appelait, sortir de cette petite maison ou elle s'enfermait et de la voir vivre, rire et sourire. Himy aurait adoré voir ces deux yeux gris aveugles s'illuminer de joie. C'est pour ça qu'elle apportait quand même à chaque fois, des manteaux, des couvertures et d'autres choses qui pourraient être utile si Niheim sortait de sa baignoire.

Sur l'instant elle laissa de cotés ses provisions, et s'approcha vivement de Rina qui venait de se rasseoir à genoux dans la baignoire, les bras le long du corps et la tête penché en avant, le visage toujours inexpressif. Chaque fois qu'Himy regardait ce visage, elle ne pouvait s'empecher de penser qu'il était semblable à celui d'une beauté que l'on aurait enfermé dans la glace pour que jamais ne s'altère son visage. Toutefois, Himy coupa court à ses considérations et s'adressa à Niheim, dont les larmes et le sang n'avait pas cessé de couler.

Himy : Que vous arrive t il Niheim ?

En laissant s'echapper un soupir tout juste audible, Rina s'adressa à Himy d'une voix monochorde et sans aucune émotion.

Rina : Tu ne me trouves pas pitoyable Himy ?

Elle laissa un court silence s'écouler avant de continuer.

Rina : Je suis encore plus lamentable que ces aveugles ordinaires ... C'est pathétique ...

Rina ferma ses yeux aveugles avant de tendre la main en avant, et de se redresser. Himy saisit la main de la jeune femme, et ne répondit rien. Trop souvent elle avait entendu cette femme aux courts cheveux blond prononcer cette phrase, et trop de fois elle avait tenté de lui prouver le contraire ... Sans espoir ... Alors aujourd'hui, Himy ne disait plus rien. Elle écoutait la raison de cette femme se briser dans le silence. Avec l'aide et le soutien d'Himy, Rina put sortir de la baignoire, et s'installa devant une sorte de petite cheminée où la jeune enfant alluma un feu. Elle déposa aussi une chaude couverture sur le dos de l'aveugle, avant de soigner son nez et de coiffer ses cheveux courts qu'elle séchait ...

C'était toujours ainsi que ça se passait, Himy prenait soin de Rina, la nourissait, sans que cette dernière ne bouge, sans qu'elle ne dise rien ou que des phrases telles que "Je suis pitoyable". Parfois, des larmes silencieuses coulaient sur les joues de la blonde, et Himy venait les sécher doucement, sans rien dire, essayant juste de transmettre a ce coeur glacé, un peu de chaleur. Puis la jeune fille partait, en fermant soigneusement la porte, et l'aveugle disait une fois la porte refermé "Prends soin de toi ..." avant de retourner en tatonnant vers cette baignoire d'eau glacée, qui la plupart du temps lui permettait de dormir d'un sommeil sans rêve ou d'être dans un état léthargique. Un état dans lequel elle ne pensait pas, un état dans lequel elle ne souffrait pas ...
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Nae
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MessageSujet: Re: Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs   Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs EmptySam 29 Avr - 11:43

[Kiryade, Pays des Brumes - Jour 0 - midi]

Nae ouvrit lentement les yeux, le temps de s'habituer à la luminosité ambiante. Lorsqu'elle finit par ouvrir complètement les yeux, ce fut comme si la lumière du soleil s'était soudainement intensifié à un point tel, qu'elle dut fermer les yeux de nouveaux très rapidement. Lorsqu'il les rouvrit après une ou deux minutes, c'était un ciel sombre et chargé de nuages qu'il découvrit. Ses yeux s'équarquillèrent donc tandis qu'il se redressait violement pour reconnaitre le sol de marbre et les murs de pierre blanche de la salle du trône de sa planète natale. Il ne comprenait pas vraiment ... Etait elle sur Yrinn ?

Soudainement elle entendit des bruits et des voix et se retourna pour contempler la mort de ceux qu'elle avait chéri ... La famille impériale était à genoux, surveillés et retenus par des guerriers et ce que Nae devina être des Sailors. Il les reconnut car il en avait déjà entendu parler et c'était elle qu'il recherchait. Mais il ne comprenait pas pourquoi ces supposés gardiennes de l'Espoir s'attaquait à l'Empereur. Quoiqu'il en soit, le Médecin officiel de la famille put assister à l'éxécution de l'Impératrice et de son enfant ...

Elle comprit immédiatement ... Chaos avait remporté la bataille et vaincu l'armée, et maintenant elle s'en prenait à son ennemi de toujours, l'Empereur d'Yrinn ... Alors qu'elle se levait comme pour aller protéger son roi, Nae put entendre la voix de cette femme que tous craignaient dans l'Univers ... Chaos ... Elle ancra cette voix au fond de son âme et continua de courir pour protéger son souverain, alors que celui ci subissait une attaque de la part d'une sailor. Et alors qu'elle s'approchait, elle fut repoussé par une aura qu'il identifia comme celle de son Empereur. Celui ci semblait pourtant inconscient sur le sol ...

Nae put entendre le "rapport" de la Sailor qui mentionnait son nom, mais son regard était fixé sur le souverain étendu sur le sol. Pourtant ses yeux se rouvrirent à demi tandis que sa voix résonnait dans l'esprit du Médecin.

Empereur : Nae ... Je n'ai pu protéger ton nom ... Chaos te recherchera, mais elle ne sait pas qui tu es ... Alors ... Je t'en prie, ne perds pas espoir ! Continues tes recherches ! Trouve celles qui nous sauveront tous !!! Je t'en prie Nae !

Et la vision de l'Empereur et d'Yrinn se dissipa tandis que Nae rouvrit les yeux sur un ciel bleu et sans nuage. Il dut d'ailleurs refermer les yeux à cause de la lumière, et c'est ainsi qu'il comprit ... C'était une vision. Une vision réelle de ce qui venait de se passer sur sa planète. Alors elle prit quelques secondes pour réfléchir ... Elle obéirait à son souverain, et elle trouverai, pas question de perdre espoir. Alors, emplit de cette volonté de détruire le Chaos, elle rouvrit lentement les yeux et se leva.

Elle regarda les alentours, pour tenter de découvrir où il avait bien put atterir. Le jeune étranger aux courts cheveux bleus se trouvait dans un resplendissant jardin de rose aux couleurs chatoyantes et bien entretenues. Il avança dans cet endroit, tentant de trouver une batisse , où il pourrait rencontrer des gens qui pourrait le renseigner, et finalement il vit un peu plus loin, un immense palais. Elle imagina volontiers qu'il s'agissait d'un palais royal et que donc un Roi ou une Reine pouvant éventuellement l'aider pourrait s'y trouver, il avança donc dans cette direction, jusqu'a son regard tombe sur une jeune fille s'occupant de roses.

Elle avait les cheveux courts noirs de jais avec des mèches plus longues devant et rouges. Elle portait un étrange costume qui ne lui était en rien familier. Elle semblait avoir 16 tout au plus. Nae se demandait qui cela pouvait être, mais elle se dit que cette jeune fille pourrait surement la renseigner, alors il se dirigea vers elle.

Nae : Excusez moi jeune demoiselle. Sauriez vous me renseigner sur l'endroit où je me trouve ?

Demanda t il d'une voix douce en s'inclinant légèrement pour montrer qu'il n'était pas hostile.
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MessageSujet: Re: Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs   Chapitre 1 : L'être venu d'ailleurs EmptyDim 11 Juin - 20:12

[Moenia Pays des Vallées , Petit village de Chihara, Matinée ]

Le soleil se levait à peine sur le village de Chihara. La première maison a être toucher par ses rayons était comme d’habitude la maison de Flora. Les rayons traversèrent la tenture de fenêtre de sa chambre et une légère brise souleva cette dernière, permettant à la lumière de caresser le visage de la jeune shaman et ainsi de la réveiller.
A peine eu t'elle ouvert les yeux que Noce traversa la fenêtre en trombe chantant de toute ses forces pour lever Flora plus vite.

Flora : Hey Noce qu’est ce qui se passe ? pourquoi t’affoles tu de si bonheur ?

Le petit corbeau lui tira une mèche de cheveux pour la faire se lever plus vite. Elle s’exécuta, après tout Noce ne s’affolait pas comme ça sans raison. Elle se coiffa et s’habilla en 4eme vitesse mais l’oiseau continuait de s’affoler …

Flora : Noce qu’est ce qui te prend, qu’est ce qu’il y a de si grave pour te mettre dans un tel état ?

La jeune fille sortit de sa maison en s’étirant au soleil…

Flora : Bonjour à toi oh astre solaire. Que tes bienfaits accompagne mon peuple …

Mais à peine avait elle prononcer ses mots qu’une nuée de villageois venus des 4 coins de Moenia se pressèrent devant elle..

Villageoise 1 : Dame Fleur de lune, aidez moi s’il vous plait. Ma petite fille saigne des poignets sans qu’on sache refermer les blessures …

Flora : Hum je vois... Depuis combien de temps n’avez vous pas changer ses pansements ?

Villageoise 1 : Hum depuis une lune environs …

Flora: Mais êtes complètement folle ma parole !!!!!

Elle fit entrer l’enfant qui semblait fiévreuse dans sa maison lui ôtât ses pansementr pour se rendre compte que la plaie était laide, très laide. Elle avait même commencer a s’infecter. Elle jeta les pansements dans le feu puis se retourna vers Noce …

Flora : Noce ramène moi de la forêt a coter des pousses de Griffis et des baies d’Aorie !!!

Noce : Kyuuuuuuuuu

Le corbeau avait bien compris ce qu’elle voulait. Elle lui posa un petit harnais en cuir avec deux petites sacoches pour qu’il puisse ramener le nécessaire … L’oiseau s’envola par la fenêtre. Pendant ce temps là, elle saisit une fiole blanc opaque sur l’étagère qui surplombait son lit. Elle prit le contenu de cette dernière et en versa une partie sur un morceau de tissu de lin blanc et commença a nettoyer la plaie. Tout en la nettoyant elle se rendait compte que la plaie avait était faite sur l’intérieur des poignets, elle regarda la jeune fille dans les yeux …

Flora : Qui t’a fait ça ?

Jeune fille : C’est ma punition pour avoir désobéi a mon père. Il m’a frappé jusqu’au sang parce que j’ai refusé d’épouser le fils de son meilleur ami …

Flora : Mais il est fou !!!!! MADAME VEUILLEZ ENTREr JE VOUS PRIS !!!!!!!

Elle hurla sa phrase sur un ton qui aurait fait peur aux meilleurs des guerriers de tout Moenia. La mère entra tremblante dans la maison de la jeune Shaman …

Flora : Madame , c’est votre mari la cause la blessure de votre enfant ?

Mère : Oui …

Flora : Avec quoi l’a t il frappé ?

Mère : Et bien avec des branches de lysna verte …

Flora : Savait il que ses branches empêche la cicatrisation ?

Mère : Non et moi aussi je l’ignorais …

Flora : Mais enfin ça relève de l’inconscience !! Vous savez que votre fille risque de mourir ?

La mère commença a s’affoler d’avantage. Pendant ce temps les deux jeunes Shaman qu’elle avait formé soignait les personnes rester devant chez Halya. Elle se leva et alla la fenêtre.

Flora : Camelia , Natisia, vous reste t il du baume de Carssizias ?

Natisia : Non , pourquoi ?

Camelia :Moi oui, un pot presque entier , pourquoi ?

Flora : J’ai là une jeune fille que son père a battu avec lysna Vert

Les deux jeunes femme en cœur : Quoi ?!!!!

Camelia :Je te l’apporte tout de suite !!!!

Camelia apporta en 4eme vitesse le peau de baume de Carssizias.

Flora : Merci Camelia, j’espère qu’il n’est pas trop tard …

Elle se retourna vivement puis après avoir soigneusement fini de nettoyer elle appliqua le baume sur la plaie. Le temps qu’elle finisse d’appliquer le baume le petit corbeau revint avec les baies et les herbes que lui avait demander Halya. Il se posa sur l’épaule pour lui signifier son retour , elle pris le harnais du corbeau, vérifia ce qu’il avait amener puis pris les pousses de Griffis et les fit bouillirent. Elle écrasa les baies d’Aoris dans un mortier et y incorpora une poudre rouge, elle ajouta en dernier les pousses de Griffis bouillis au mélange puis le fit boire à la jeune fille. Cette dernière but sans se faire prier et s’endormis …

Flora : Elle va avoir besoin de repos maintenant, de beaucoup de repos... Et surtout plus aucun contact avec son père, il est trop dangereux. Si vous le souhaitez elle peut rester habiter a Chihara …

Mère : Mais nous habitons loin et …

Flora : Madame, vous devez comprendre que cet homme est dangereux pour votre fille …

Mère : Mais ce mariage est décidé depuis leur naissance …

Flora : Bon madame vous allez retourner chez vous. Votre fille une fois guéri décidera d’elle même si elle veut rentrer ou rester ici …

Mère : Mais enfin …

Flora : Il n’y a pas de mais qui tienne. Elle est assez âgée pour décider d’elle même …

Sur ces mots elle poussa la mère au dehors de la maison et demanda aux villageois présents devant chez elle de raccompagner la mère de la fille à l’entrée du village et de s’assurer qu’elle ne revienne pas …
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